Dilemme : Zahia dans la télé réalité de W9 ?

Ce matin dans le 6/9 de NRJ, Nikos a reçu Alexia Laroche-Joubert à l’occasion de la prochaine émission de télé-réalité «Dilemme» le 20 mai. «Dans l’équipe qui entoure Faustine Bollaert il y aura Joëlle Goron, elle balance et elle est drôle».

L’émission «Dilemme» : «Nous mettons 300 000 euros en jeu». «J’espère que les candidats seront prêts à aller loin, nous sommes dans un cube où 14 candidats seront confrontés à des dilemmes et la question sera soit de se sacrifier soi-même, soit de sacrifier les autres. La question est de savoir s’ils le feront pour l’argent. L’idée est que c’est drôle et stratégique. C’est un casting de gens stratèges et sevrés à la télé-réalité. Nous assumons tout: que les candidats viennent pour l’argent, qu’ils veulent être célèbres, que la production a une maîtrise de ce qui se passe dans le cube». «La base du programme c’est que les gens se marrent car je n’ai jamais fait de télé-réalité violente. Il ne faut jamais déranger le téléspectateur ou qu’il se sente gêné et il ne faut jamais infliger quelque chose que les candidats ne puissent accepter fondamentalement».

Zahia, candidate de «Dilemme» :  «Nous sommes en négociation avec Zahia. Ce sont des petites bêtes compliquées. Nous sommes en contact avec des intermédiaires».

L’homme en rouge dans le loft : «C’est le bras armé de ce qu’on appelle la machine c’est-à-dire celle qui donne les dilemmes. Tout le monde sait que c’est la production qui intervient donc nous, nous avons décidé d’assumer cela avec des régisseurs qui interviennent».

Le décor du Loft : «J’ai mis une banane rose avec une main qui la tient et évidemment c’est une allusion sexuelle. J’ai dû me battre avec le directeur du groupe M6 pour la mettre. Il y a énormément d’humour dans le décor. Il y a un gâteau avec des têtes de mort dessus. Le principe c’est de désirer quelque chose mais de se méfier à vouloir trop le désirer».

Alexia en candidate de télé-réalité : «J’aurais eu 20 ans, cela m’aurait amusée de faire le loft, c’était mythique, maintenant là à 40 ans je préfère le regarder».

L’histoire de Georges-Alain et Houcine : «Quand je les convoque dans mon bureau et que juste avant je les engueule, les deux me disent alors, «ok c’est bon on va partir». Et après hors caméras nous avons passé 2 heures à les convaincre de rester».